M2 LH parcours Littérature, culture, patrimoine

Le livre entre Moyen-âge et Première Modernité: le patrimoine en question

La presente asignatura se centra en el desarrollo de las destrezas orales y escritas en español del/de la estudiante tanto en un contexto personal como profesional. Se abordarán distintos géneros textuales que nos darán la oportunidad de estudiar en profundidad la gramática española, además de un léxico muy diverso. Al final de curso, el/la estudiante será capaz de expresarse de forma oral y escrita utilizando un amplio abanico de recursos comunicativos: expresar intereses y sentimientos, opinar y valorar, comentar noticias, dar consejos, expresar deseos, expresar causa y finalidad, describir y comentar cualidades, etc. El progreso del/de la estudiante dependerá de su participación activa durante las clases y de la elaboración de los distintos trabajos individuales y en grupo que deberá presentar durante el curso.

 Savoirs didactiques : didactique de la littérature, lecture littéraire, didactique des genres, didactique de la langue. Préparation à l'écrit 2 du CAPES de Lettres ModernesFormation Professionnelle

Ce cours s’inscrit dans le cadre plus large des études sur le Genre et cherche à apporter un éclairage complémentaire à celui des mouvements/lectures féministes des années 1960. La critique littéraire féministe et la critique du genre/sexualité posent une question essentielle : 

Comment notre identité (féminine ou masculine) nous façonne-t-elle en tant qu’hommes ou femmes ?  

Pouvons-nous nous libérer des rôles/modèles stéréotypés dans lesquels la société nous a enfermés ?

 Le féminisme a remporté des gains spectaculaires : Au nom des principes d’égalité, de liberté, de justice et de solidarité, des hommes (comme les femmes) se réjouissent de ces victoires car ils sentent aussi que ce mouvement a eu un impact positif sur leurs structures identitaires, puisqu’il les a libérés des rôles stéréotypés dans lesquels l’idéologie patriarcale les enfermait. Certains hommes, pourtant, semblent regretter la déstructuration des identités traditionnelles féminines et masculines (par les féministes). S’ils admettent du bout des lèvres que le féminisme avait bien sa raison d’être au départ, ils martèlent que le féminisme serait allé « trop loin » et aurait privé les hommes des repères et des modèles moraux et identitaires nécessaires pour s’orienter dans la vie. Les hommes/le modèle de masculinité seraient, donc, aujourd’hui en crise. 

Afin de mieux comprendre la réalité exprimée par ce discours de crise de masculinité et afin d’y répondre, au cours du semestre, nous tenterons de répondre à ces questions : 

1. Comment définir la masculinité ? Comment la masculinité s'affirme-t-elle dans la société ?

 2. Doit-on parler-t-on de masculinité au singulier ou de masculinités ? 

3. Quels sont les modèles de masculinité auxquels les hommes peuvent aujourd’hui s’identifier ? Ont-ils changé ?

 4. Y a-t-il une hiérarchie entre différents modèles/groupes d'hommes ainsi qu'entre les hommes et les femmes ? Comment ont-elles été construites et maintenues ? 

5. Comment les hommes ont-ils appris à devenir des hommes et à agir en tant qu'"hommes" dans leur vie quotidienne ? Qu'est-ce qui a formé leur identité propre et leur expérience dans différents contextes historiques ?

 6. De notre point de vue français, les masculinités diffèrent-elles entre chaque côté de l'Atlantique ?

CONSTITUTION D’UN PATRIMOINE LITTERAIRE ET CULTUREL, ETUDE DE CAS : LE PSAUTIER DE GENEVE (XVIE -XVIIIE S.) 

Au moment où l’espace s’ouvre, avec l’ère industrielle et les nouveaux moyens de communication, s’opère une recomposition de l’imaginaire culturel qui se cristallise en géographie symbolique, dont l’orientalisme n’est qu’une composante.La culture devient alors l’élément discriminant pour revisiter l’histoire, restituée sous forme de concaténation paysagère, et en proposer des visions synthétiques, depuis les « parcs à fabrique » qui naissent au XVIIIe s. jusqu’aux architectures paysagées des parcs domaniaux du premier XXe siècle, véritable allégorie des mutations socio-culturelles d’une société cosmopolite où les artistes œuvrent sans frontières.La réflexion sur le paysage et ses fonctions permettrait moult prolongements avec l’histoire des arts, depuis Hubert Robert jusqu’à Delacroix, Bazille, Cézanne ou van Gogh...

Cours de langue et civilisation italiennes pour les élèves inscrit(e)s en Master 2.

:France et Allemagne ont depuis longtemps eu des histoires mêlées et leur identité respective s’est construite sans cesse grâce à l’autre ou contre l’autre, notamment à partir du XIXe siècle avec le développement et l’affrontement des nationalismes.

Nous observerons comment la littérature française rend compte de ces relations si particulières entre les deux pays, la façon dont elle évoque les événements historiques et notamment les conflits, ainsi que les influences culturelles auxquelles elle a pu être soumise. Nous aborderons ainsi, à travers la lecture de textes du patrimoine littéraire français, la question franco-allemande comme élément important du patrimoine culturel de la France. 

Course description: In his study of horror fiction, Joseph Grixti contends that monstrous individuals symbolise the ‘means of evading the real implications of the uncertainties and discomforts which appear to be endemic to the constantly changing social, political, and economic conditions of our technologically oriented cultures’. Grotesque individuals, specters, ghosts, or monsters in fiction are often metaphors for ‘unpleasant social and existential realities’ that contemporary society seeks to deny and expurgate. Monsters are the quintessential Other w/ a capital “O,” persons or creatures defined as different from (and viewed as functioning outside) the dominant social group. They are the forgotten, the repressed, the underbelly of culture. They become ‘scapegoats’, embodied as abjectly and horrifyingly other, which must be confronted and destroyed. Major nineteenth-century Gothic narratives, especially fin de siècle Gothic, situate the monster as geographically and physically other. The monster in much contemporary literature is located, by contrast, in an ‘elsewhere’ that is intimately with(in) us. This course will give us the opportunity to read and compare works that employ the monstruous as a central motif. Among the questions we’ll ask: why is American Literature, and Southern Literature in particular, so enamored with the ghostly, the monstruous, the grotesque, and the ugly other? What effect does the monstruous have on us as readers? What’s the appeal?